Jean-Pierre BLANC en convalescence au Levant

Les vacances d’été tirent ce soir leur révérence ; ne laissant que le souvenir de ces belles soirées à faire la fête, à chanter, boire et danser sur des airs endiablés.

Privilégiant désormais le tourisme local aux voyages plus exotiques – et surtout plus risqués (suivant les régions, c'est devenu un véritable Tanger) celui que l'on surnomme « le roi du Levant », a choisi de rester sagement sur « son » île.

Le 19 juillet, lors de l’élection de Miss et Mister Levant, on retrouve donc Jean-Pierre BLANC, l'enfant terrible de Noailles, torse nu, une flûte à la main  ; esquissant une petite chorégraphie improvisée sur l’air de « Magnolias for Ever ».

Dans la tourmente depuis plusieurs mois, l'ex-directeur de la Villa Noailles savourait ce soir là le court répit qui lui était enfin offert depuis que l' « affaire » avait éclaté dans la presse, quelques mois plus tôt. Un petit moment d'insouciance aussitôt capturé par un téléphone portable indiscret, dont le contenu cette fois-ci ne s'est pas évaporé.


Dans son verre, on devine du Champagne – à moins que ce ne soit du blanc... de BLANC ?

Officiellement en arrêt de travail, le champagne et les sorties sont sans doute prescrits par son médecin pour s'oxygéner l'esprit (les bulles y aident), chasser ses idées NOIRes et, surtout l’aider à surmonter sa crise de Noailles ?

Celui qui n'est plus désormais que directeur artistique semble en tout cas avoir opté pour une thérapie alternative, non remboursée par la Sécu. En espérant qu'il dispose d'une bonne convention collective car les indemnités journalières plafonnées à 1,4 SMIC risquent de l'obliger, lui qui était payé à la belle époque 7 SMIC mensuels (plus les à-côtés) à se serrer la ceinture, du moins lorsqu'il en porte une !

Bien loin du fric et des frasques d'antan, celui qui fit les heures de gloire du festival international de la Mode à Hyères semble désormais aspirer à une existence plus sobre. Et de cette période fastueuse, où le champagne coulait à flot, il n'a conservé qu'un seul petit plaisir : une petite coupette de champ (en pagne) sirotée doucement, économie oblige, plutôt que cul sec, comme avant.

S’enivrer de l'air du temps – d'un peu de champagne (avec modération) – et des refrains de Clo-Clo : voilà désormais le quotidien de celui qui, hier encore, (design) paradait dans la jet set avant de lourdement tomber de son piédestal.

Lui qui, hyperactif, ne supportait pas de passer ses lundis au soleil, tente aujourd'hui d'oublier 2025, cette année-là, si cruelle, où tous ses créanciers, à l'autre bout du téléphone, pleurent... en réclamant leur dû.

Celui qui dormait autrefois dans la soie des suites à 800 € la nuit, s'endort désormais sur la plage, au petit matin, ivre de musique et de danse, entouré de ses complices de fortune – Valérie, Bélinda et Alex – sans draps

Et si, à la rentrée, il devait avoir un nouveau petit coup de (li)mou, Jean-Pierre sait pouvoir compter sur de fervents soutiens : une garde rapprochée qui veille sur lui et dont on ne sait d'ailleurs pas vraiment d'ailleurs s’ils admirent réellement l’œuvre du génie de la Mode ou si ce sont de simples entrepreneurs gravitant en orbite autour du généreux (ex) directeur, vivant de ses largesses et soucieux évidemment de défendre la poule aux œufs d’or.

Tous protègent Jean-Pierre BLANC même si chacun sait qu'il ne l'est pas vraiment... mais qu'importe ! Car nombre d’entre eux font de menus travaux à la Villa (carrelage, menuiseries, décoration intérieure, architecture, etc.) ou bien accueillent les festivaliers dans leurs hôtels et leurs restaurants.

Ils se font appeler « les enfants de Noailles » : une progéniture pas forcément légitime mais toujours vigilante, qui monte la garde autour de son pygmalion ; le défendant bec et ongles contre ces journalistes iconoclastes qui ont osé évoquer des images compromettantes (le parquet de Toulon a depuis démenti l'ouverture d'une enquête Ndlr).

Le 5 septembre, Jean-Pierre aura d'ailleurs l’occasion de laver son honneur au tribunal correctionnel de Paris où il a déposé plainte pour diffamation contre les autrices des révélations. Avec, en ligne de mire, l'espoir de redevenir aux yeux du public le fameux chevalier BLANC – si on met entre parenthèses la dette fournisseur, évidemment...

La Villa, si on devait la résumer, c'est ce savant cocktail où l'Art se marie (en blanc) toujours très bien... avec le conflit d'intérêts.

Les exemples abondent : des entrepreneurs qui défendent leur créancier, l'avocate de Jean-Pierre BLANC qui n’est autre que la fille de la Directrice Générale des Services de la Métropole TPM (il en a changé depuis Ndlr) et, bien sûr, nos politiques locaux jadis conviés aux fameuses soirées VIP et bien embarrassés aujourd'hui lorsqu’il s’agit d’alerter le procureur sur l’emploi de nos deniers publics.

À l’approche des élections, il faut dire que bien peu ont envie de se frotter à la garde rapprochée de Jean-Pierre BLANC, soit parce qu'ils les savent tous très influents, soit parce qu'ils font partie des mêmes loges...

Pourtant, nos élus d’opposition auraient toute légitimité à réclamer la démission en bloc du conseil d’administration de l’association « Villa Noailles ».

Hélas, pas plus de signalements que de photos choquantes sur le deuxième téléphone de Jean-Pierre BLANC...

Pourtant, les mêmes causes produisent les mêmes effets : certes, on a bien changé de directeur, histoire de sauver les apparences (en espérant que le nouveau ne soit pas, lui aussi, un enfant... du sérail)Mais pour le reste, rien ne bouge : les mêmes administrateurs tiennent toujours la barre. Et surtout, ils n’ont visiblement rien compris — ou font semblant — puisqu’ils continuent de défendre aveuglément l’indéfendable.

La preuve sur le fil WhatsApp des « enfants de Noailles » où la palme (hyéroise) d’or de la mauvaise foi revient sans conteste à l’architecte Jérôme CANO, membre du CA, qui, chauffé à BLANC après la parution d’un énième article critique sur son gourou, a trouvé plus simple de tirer non pas sur les faits, mais sur la journaliste.


Commentaire sur WhatsApp
de Jérôme CANO (6 juin 2025)


Et non, désolé Jérôme : CANO ça prend un N, mais CONNAsse, ça en prend deux !!!

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