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Affichage des articles du 2024

Girania JONES : à la recherche de la pierre philosophale

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Le prochain épisode de la saga Girania JONES ne sortira sur les écrans qu’en mai 2026 mais déjà, les fans de la série sont en transe. Afin de les aider à patienter, la production a laissé fuiter le titre dans la presse locale (édition du 19 octobre 2024) : ce nouvel opus s’intitulera «  À la recherche de la pierre philosophale » et nous entraînera dans une nouvelle aventure de l'intrépide explorateur en pleine jungle équatoriale, dans une région sans foi, ni loi près du lagon de Kaïna Beach, où le professeur Girania, notre explorateur en culotte (très) courte, se lance sur les traces de Nicolas FLAMEL, en quête de la fontaine de jouvence politique. Une quête ô combien difficile pour notre héros au fouet légendaire, au cours de laquelle nous devrions voir apparaître un nouveau personnage, une sorte d'aide de camp à qui le professeur JONES pourrait bien ensuite transmettre le flambeau. C'est du moins ce qui se murmure, puisque le choix du successeur reste évidemment pour

Hyères : 2 élus de la majorité claquent la porte !

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Hier soir, coup de théâtre au 5ème étage de Clotis : deux élus de la majorité municipale ont rendu leurs délégations à Jean-Pierre GIRAN. Patrick MONPATE, conseiller municipal délégué à l’agriculture et aux forêts, ainsi que Laurent CUNEO en charge des espaces verts, ont en effet claqué la porte et siégeront désormais sur les bancs de l’opposition. La raison de leur départ ? Sans doute l’interview sans langue de bois, accordée par le maire vendredi dernier aux journalistes de Var Matin (à visionner ici ), qui a littéralement mis le feu aux poudres. Invité sur le plateau de l’émission « l’interview à la une », Jean-Pierre GIRAN n’a pas été tendre en effet avec les élus de sa majorité, avouant au journaliste Michael ZOLTOBRODA (ZOLTO pour les dyslexiques) qu’il n’avait pas trouvé de dauphin dans sa majorité, toujours à la recherche selon lui de la « pierre philosophale ». Pour transformer le plomb en or, à part son ami plombier, il faut effectivement avouer que ça ne se bouscule pas a

Tramway : La CGT vole dans les plumes de la Métropole

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Qu’un syndicat s’oppose au patronat, c’est monnaie courante, mais qu’il vole dans les plumes d’un projet de tramway intercommunal, c’est déjà beaucoup plus singulier… C’est pourtant bien ce qui se tram-e actuellement à la Seyne-sur-mer où un bras de fer oppose la CGT à la Métropole, non pas dans un énième conflit social mais plutôt dans un conflit…. de canards. Et l’élément déclencheur de tout ce ramdam autour du tram semble bien être un banal journal, flottant à la surface d’une mare, en l’occurrence celle de Donald, de Daffy et de leurs congénères palmipèdes. Jusque-là, nos canards avaient en effet la belle vie ; vivant peinards au bord de leur mare ; leur quiétude seulement troublée par les quelques trains passant dans le coin (coin) , du côté de la gare SNCF de la Seyne sur mer, située à un battement d'aile de là. Mais, lorsqu’il tomba sur la première page détrempée du canard local, Donald cru tout d’abord qu’il s’était trumpé et il dut reprendre à plusieurs fois sa lecture

Le Clan du Saint-Cyrien : Partie 2

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Depuis plus de 3 ans que nous travaillons d’arrache-pied (palmé) sur le dossier du Centre Commercial du Nautisme, nous avons toujours eu l'intime conviction que Roland ATLAN, le chauffeur bénévole du maire, avait quelque chose à voir avec la Bérézina sur ce chantier. Et l’article que vient de consacrer Médiapart au CCN nous confirme que notre intuition sur son rôle(and) était peut-être bien la bonne… Dans le clan du Saint-Cyrien, Roland est en effet une figure incontournable : chauffeur bénévole, colleur d'affiche, homme à tout faire, il fut même son attaché parlementaire (ce qui fait d’ailleurs doucement sourire ses anciens camarades d'école) et, quand le député fut élu aux palmiers, dans ses valises notre jouvenceau fut ramené (lire ici  l’article que nous lui avions consacré il y a 3 ans) . Et bientôt, celui qui tant d'années n'a pas compté ses heures, fut récompensé à la juste mesure de son dur labeur. N'est-il donc pas légitime de récompenser les