Le Clan du Saint-Cyrien : Partie 2

Depuis plus de 3 ans que nous travaillons d’arrache-pied (palmé) sur le dossier du Centre Commercial du Nautisme, nous avons toujours eu l'intime conviction que Roland ATLAN, le chauffeur bénévole du maire, avait quelque chose à voir avec la Bérézina sur ce chantier.

Et l’article que vient de consacrer Médiapart au CCN nous confirme que notre intuition sur son rôle(and) était peut-être bien la bonne…

Dans le clan du Saint-Cyrien, Roland est en effet une figure incontournable : chauffeur bénévole, colleur d'affiche, homme à tout faire, il fut même son attaché parlementaire (ce qui fait d’ailleurs doucement sourire ses anciens camarades d'école) et, quand le député fut élu aux palmiers, dans ses valises notre jouvenceau fut ramené (lire ici l’article que nous lui avions consacré il y a 3 ans).

Et bientôt, celui qui tant d'années n'a pas compté ses heures, fut récompensé à la juste mesure de son dur labeur.

N'est-il donc pas légitime de récompenser les efforts, de Roland qui, tant de fois, a donné de son Cor ?

Ainsi il devint incontournable sur les chantiers hyérois, se payant sur la bête de son bénévolat.

Mais, trêve de poésie...

Ancien portier de boites de nuit, reconverti dans la plomberie, on le croirait tout droit sorti d'un film de Martin SCORSESE. Pas le premier rôle bien sûr, mais plutôt le second couteau, le gros bras au front bas et au costard étriqué qui s'affaire aux basses besognes. Depuis des années, notre BENALLA local veille en effet constamment sur les intérêts de Jean-Pierre GIRAN, le véhiculant bénévolement soirs et week-ends, ATLANtif au moindre désir de son mentor, fournissant logistique et alibis à l’occasion, ATLANtionné comme on se doit évidemment de l'être avec la poule aux œufs... Bref, il est constamment collé à ses basques, tel un poisson pilote (bénévole) accroché à la bedaine du vieux requin blanc, à l’affût de la moindre miette du festin.

Roland les bons tuyaux, comme on l'appelle dans le milieu (des plombiers Ndlr), pas vraiment un intello mais un flair à dénicher les bonnes combines à des kilomètres à la ronde, le roi du système D en quelque sorte, qui n’hésite pas à retrousser ses manches et mettre les mains dans le cambouis si nécessaire ; tuyautant, dégrippant, colmatant, lubrifiant, pistonnant et arrosant si nécessaire, comme tout bon plombier se doit de le faire.

Désormais, Roland a un pied dans chaque porte et une main dans chaque poche et, dans ce pays de cocagne jusqu'alors préservé du bétonnage, il est apparemment devenu celui qui partage le gâteau des chantiers de BTP hyérois, en se réservant souvent les plus gros morceaux !!!

C’est pourquoi nous n'avons absolument pas été étonnés de l’apercevoir en filigrane derrière le marché du Centre Commercial du Nautisme…

N’est-ce pas lui en effet qui participe aux premières réunions de chantier alors qu’il n’a théoriquement rien à y faire, du moins sur le papier (il n’apparaît en effet ni comme titulaire, ni comme sous-traitant de ce marché public Ndlr) ?

N’est-ce pas lui qui réalise discrètement des travaux pour le compte de la société Avenir Energies (l’entreprise qui est intervenue au CCN au niveau des vides sanitaires Ndlr) ?

N’est-ce pas lui qui présente au tout Hyères Thierry MOLITOR, le dirigeant de l’époque de la société « VIGNA » (l’entreprise retenue pour le gros œuvre Ndlr) comme son propre cousin ? Ce qui, somme toute, n’est pas tout à fait faux puisque dans le milieu (du BTP Ndlr), ils sont évidemment tous un peu de la même famille…

VIGNA, une société fréjussienne de construction qui, malgré sa santé fragile (elle est actuellement placée en redressement judiciaire Ndlr) sera retenue pour le marché du CCN et à qui Roland mettra le pied à l’étrier ; devenant rapidement incontournable dans la cité des Palmiers, de l’Odalys au CCN, en passant par les hangars industriels du chauffeur bénévole du maire dans la zone St-Martin ou bien encore l’emblématique restaurant « L’Anna » des brulants époux El MEDJERI. L’Anna où la société HPC (Hyères Plomberie Chauffage Ndlr) de notre plombier s’affichera justement aux côtés de VIGNA pour œuvrer de concert à la rénovation de la Coupole pour la transformer en un restaurant flambant neuf (oups)…


Partenariat HPC-VIGNA
sur le chantier du restaurant l'Anna


L'Anna à la une de BFM Toulon Var
(26/09/2022)


Quelques photos des dégâts
de cet incendie criminel

VIGNA qu’on retrouve étonnamment comme co-titulaire du macro-lot N°1 du marché public du CCN, ce fameux lot épinglé par la chambre régionale, qui représente à lui seul 75% du montant total du marché, et presque autant du pourcentage des malfaçons…

Pourtant, le « cousin » n’avait, d’après les magistrats de la CRC, ni la proposition la mieux notée, ni la moins chère (il était en effet 25% au-dessus de l’estimation de la commune Ndlr) et son offre était incomplète de surcroit. Mais cela n’a visiblement pas empêché Thierry MOLITOR d’être retenu, allez savoir pourquoi...

VIGNA a ensuite fait appel à 15 sous-traitants différents, en contournant astucieusement les règles de la commande publique puisque qu’une fois choisi, il eut tout loisir de faire tranquillement travailler les entreprises de son choix, frangines de préférence ; biaisant ainsi la concurrence jusqu’au trognon, si vous nous pardonnez l'expression.

Vous vous en doutez, ce n’est évidemment pas le point de vue du maire qui affirmait au sujet du CCN, lors du dernier conseil municipal, que « plus transparent que nous, tu meurs » !

Alors, puisqu'on risquait visiblement, selon l’édile, de mourir à force de douter de sa transparence, on a préféré le croire sur parole, comme l’ont fait eux-aussi les élus de sa majorité et les journalistes de Var Matin.

Finalement, ne se pourrait-il pas que ce ne soient effectivement que de simples coïncidences ? Roland est serviable, donne volontiers des coups de main, fait travailler ses proches et en tire à l’occasion quelques menus avantages, quoi de plus naturel en définitive ?

Alors, n’ayant plus rien à nous mettre sous le bec, nous avons donc laissé Roland les bons tuyaux et toute son attendrissante famille vaquer à leurs petites affaires et sommes repartis de notre côté fouiller comme à notre habitude dans les poubelles...

Et le déclic, nous l'avons justement eu en allant fureter du côté de celles de l’ODALYS.

Ce permis tacite est un vieux serpent de mer qui défraye la chronique depuis des décennies, de RITONDALE, qui l'avait refusé en 2006, à GIRAN qui n’a rien fait pour l’empêcher en passant par POLITI qui, une fois élu, se retira sans explication de la procédure engagée sous son prédécesseur juste avant le jugement en cassation. Le 24 décembre 2013, très exactement, soit un joli cadeau (avec un jour d’avance) déposé au pied du sapin aux nouveaux propriétaires du terrain, à qui le conseil municipal avait justement vendu 4 jours plus tôt le bail emphytéotique pour 6 millions d'euros (avec la bénédiction pour une fois du principal opposant, un certain Jean-Pierre GIRAN) ; sonnant ainsi définitivement le glas de la pinède captoise protégée et condamnant près de 200 arbres à un abattage désormais inéluctable.

Depuis son origine, pas moins de 10 permis modificatifs et 4 transferts de permis auront été accordés, dont certains in extremis, parfois quelques heures seulement avant que ce permis de 165 logements hôteliers ne soit caduc.

Jusqu'à ce « beau » jour de février 2023, lorsque les travaux de l'ODALYS purent enfin commencer.

À ce moment-là, on a alors constaté sur le panneau d'affichage, à l'entrée du chantier, de troublantes coïncidences avec le Centre Commercial du Nautisme, à commencer par les sociétés intervenantes… puisqu’on retrouve évidemment VIGNA et Avenir Energies.

Après tout, pourquoi changer une équipe qui gagne ?

Les coïncidences ne s’arrêtent pas en si bon chemin car, même si la société HPC ne figure pas sur le panneau d’affichage des entreprises travaillant officiellement sur ce chantier, notre plombier au grand cœur participera malgré tout aux réunions de chantier et donnera un nouveau coup de main altruiste à Avenir Energies, cette fois-ci non pas pour remplacer 2 climatisations défaillantes (c’est en effet l’argument donné lors du dernier conseil municipal par Jean-Pierre GIRAN pour essayer de couvrir une nouvelle fois son garnement Ndlr) mais plutôt pour s'occuper de l’installation de la machinerie de la piscine de l’hôtel.

Et c’est justement en consultant les comptes rendus de ces fameuses réunions de chantier qu’on a découvert la clé de l'énigme ; nous permettant d’emboîter toutes les pièces de ce puzzle tentaculaire et de comprendre enfin le rôle(and) d'ATLAN non seulement à l’ODALYS mais également au CCN.

Car sur ce document que nous avons pu nous procurer, on s’aperçoit que Roland, sans doute un peu moins vigilant que d'ordinaire, a été mentionné noir sur blanc en tant qu’encadrant de chantier, pour le compte de la société Avenir Énergies.


Extrait d'un compte rendu de chantier de l'ODALYS
où Roland ATLAN apparaît comme encadrant
de chantier du lot N°11 d'Avenir Energies

On comprend ainsi beaucoup mieux sa présence sur ces deux chantiers...

Car le plombier n'est jamais là par hasard. Roland surveille simplement ses investissements !!!

Avenir Energies, une société qui a visiblement le vent en poupe en ce moment à Hyères puisque son chiffre d’affaire a été multiplié par 4 en 7 ans (malgré la COVID) et qui a même réussi l’exploit de décrocher les 7 marchés municipaux de chauffage et de plomberie des bâtiments publics (notamment celui de la piscine municipale) au grand dam du précédent titulaire évincé.

La technique de notre plombier débrouillard est finalement assez simple : lorsqu’un marché ou un permis de construire est dans les tuyaux municipaux, le chauffeur bénévole du maire toujours bien informé (il traine suffisamment pour cela dans les couloirs de Clotis) se présente en tant que « porteur d’affaires » (belle promotion tout de même pour celui qui, jusque-là, portait plutôt des valises), place ses amis (de préférence des frangins, cela va sans dire) puis touche sa dime (prendrait-il 10% lui aussi comme au bon vieux temps de Maurice et de Savonnette ?).

En général, quand les dés sont pipés, sa société HPC n'apparaît pas officiellement, c'est évidemment trop risqué ! Alors, afin de ne pas attirer l'attention, il travaille à ce moment-là en sous-marin, pour le compte de ses copains qui lui renvoient ensuite l'ascenseur comme par exemple VIGNA qui lui construira ses hangars industriels dans la zone d'activité économique St Martin…


Locaux de Roland ATLAN dans la ZAE St-Martin

Mais figurez-vous que les « similitudes » entre le CCN et l’ODALYS sont loin de s'arrêter là puisqu'on constate également dans les 2 cas de troublantes surfacturations.

Et si au CCN, il y a très exactement 1 352 632 € de détournements de fonds publics, de fausses factures et de malfaçons, on est à l’ODALYS au bas mot à 700 000 €, selon nos propres estimations.

La seule différence, c’est que sur la plage de la Bergerie, il ne s’agit pas du denier public.

Alors, on ne va surtout pas être plus royalistes que le roi et si ça convient au groupe DUVAL (propriétaire de la chaîne hôtelière ODALYS), ça nous convient forcément à nous aussi.

Bien conscients d’avoir été arnaqués par les sociétés qui gravitent autour de l'ami Roland, ce groupe hôtelier préfèrera fermer les yeux. Peut-être le prix à payer pour avoir réussi à faire débloquer le dossier ? L'ancien propriétaire du bail emphytéotique (un des deux frères BELLALOU Ndlr) ne dit-il pas à qui veut l'entendre que le plombier est lui-même intervenu pour « faciliter » l’obtention du permis de construire ?

Mais ce groupe immobilier n’est pas le seul à fermer les yeux et, justement, les 4 fonctionnaires municipaux BCBG (pour l’initiale de leurs noms tout autant que pour leur look) mis en cause par la CRC vont devoir dans quelques jours s’en expliquer devant la 7ème chambre de la Cour des Comptes…

Quant à Jean-Pierre GIRAN, non seulement il détourne le regard quand ça l'arrange, histoire de sauver les miches de son molosse, mais il nous fait une nouvelle fois la démonstration de tout son talent d'illusionniste.

Souvenez-vous que, lors de l’inauguration du CCN, notre magicien David CLOPEDESCHESTERFIELD avait fait disparaître comme par enchantement les 578 anomalies et les 129 réserves du chantier.

A l’ODALYS, notre magicien en chef fera encore plus fort ; faisant disparaître, dans un numéro spectaculaire de grande illusion, la montagne de déblais du chantier déposée en toute illégalité pendant près de 18 mois sur le cordon dunaire et qui faisait grincer des dents les écolos hyérois.



Sans doute que la proximité de l'ami Roland avec le dirigeant de l'entreprise de VRD (Voirie et Réseaux Divers) à l’origine du dépôt illégal (ils sont amis, travaillent ensemble sur de nombreux chantiers et fréquentent la même loge où l’un des deux est même vénérable) a contribué à ce qu’il n’y ait pas de vagues du côté des services municipaux, bien que nous l’ayons rendu public sur notre page Facebook à l'occasion d'un poisson d'avril...


Pastiche de la une de Ouest France
(Page Facebook du Gabian Déchaîné - 1er avril 2023)

Depuis, les pluies et le vent ont dispersé le tas de « sable » dans la mer, sans qu'on ne sache jamais malheureusement ce qu'il contenait exactement...

Idem pour les exutoires du pluvial qui ont récemment ému l’opinion publique et forcé le maire à sortir de sa réserve dans Var-Matin.


Article VM du 26/07/2024

Dans cet article, le prestidigitateur en chef de Clotis détourne une nouvelle fois l'attention du public avec la bonne vieille tactique du bouc émissaire ; chargeant la mule sur le dos du groupe DUVAL comme il l'avait déjà fait précédemment au CCN avec le maitre d’œuvre.

Sauf que le rejet à la mer des eaux pluviales pointé du doigt dans l’article par le maire est bien prévu noir sur plan dans le permis de construire qu’il a accordé, ainsi que dans l'étude « Loi sur l'eau » déclarée en Préfecture.


Extrait de l'étude « Loi sur l'eau » précisant le rejet des eaux de pluies à la mer


Extrait du permis de construire accordé par la commune
où on voit en bleu le réseau pluvial descendre jusqu'à la mer

Dommage d’ailleurs qu’il s’en émeuve si tard car s’il y avait un motif de refuser ce permis destructeur, c’était bien celui-là, quitte à partir en contentieux pendant des années.

Mais il valait probablement mieux fermer les yeux (encore une fois) et laisser tous les frangins de l'ami plombier gameller travailler tranquillement sur ce chantier à 50 millions d'euros (selon nos estimations), pour ensuite pousser des cris d'orfraie, une fois que tout avait été irrémédiablement bétonné.

Un peu facile, non ?

L'article de VM pointe du doigt l'odeur pestilentielle des eaux stagnantes sur la plage publique. En tout cas, ces « rolands » nauséabonds ne semblent pas déranger notre ami plombier qui vient justement d'ouvrir une paillote en bordure de plage, à côte de l'ODALYS, et dont on peut même distinguer les tables et les parasols à droite, sur la photo de l'article du journal.


Au 1er plan, le rejet des eaux noirâtres à la mer
Au 2nd plan à droite, la paillotte de Roland


De dos, torse nu, en train de téléphoner
Roland ATLAN a déjà marqué son territoire...

L'ancien propriétaire du bail emphytéotique, Guy Maurice BELLALOU, a en effet souhaité conserver une partie des terrains où il exploitait auparavant des discothèques (le Blue Bells, la Dolce Vita,…) et notamment une dalle béton cadastrée, en bordure de plage, sur laquelle Roland vient d'installer food truck, parasols et transats.

Encore une fois, une simple coïncidence, à moins que ce ne soit peut-être encore un retour d’ascenseur pour avoir « facilité » l'obtention du permis de construire ?

Pour l'instant, c'est une modeste paillotte mais il y a fort à parier que bientôt un permis de construire sera déposé pour la transformer en un restaurant de plage qui « ambiancera » les nuits de la Bergerie.

Notre article est jusqu'ici plutôt flatteur pour Roland les bons tuyaux bien qu’il n’ait pas, selon nous, l’encéphale pour monter des magouilles d'un telle taille (et ce ne sont pas ses anciens camarades d'école qui vont nous contrediront encore) et nul doute que derrière notre larron se cache encore le réseau affairiste franc maçon, qu’ils soient architectes, avocats, promoteurs, entrepreneurs, carreleurs, restaurateurs voire même sénateurs ; tout ce beau monde faisant la pluie et le béton à Hyères et profitant pleinement de l'El Dorado des 50 hectares de construction que leur a été offert sur un plateau d’argent par le Plan Local d’Urbanisme (PLU) du Saint-Cyrien.

Beau retour sur investissement pour ceux qui en 2014 ont parié sur le cheval « GIRAN » !!!

Malheureusement pour notre commune et pour le contribuable, les magouilles du père ATLAN vont bien au-delà du CCN et de l'ODALYS et il nous parait également incontournable lorsqu'il s'agit notamment de l'attribution de lots de plage.

A la grande époque du Sao-Praia des El MEDEJERI (revendu entretemps 2 fois Ndlr), même s’il n’apparait pas dans les statuts comme associé, Roland sortait discrètement le matin les matelas de plage et s’occupait accessoirement des menus travaux et du terrassement de la plage privée.

Souvenez-vous en effet cette règle d'or : ATLAN n'est jamais là par hasard !!!

Et lorsque ses intérêts sont en jeu, chassez le naturel il revient au galop, cet ancien portier des nuits hyéroises sait alors se montrer persuasif, insistant, intimidant voire même menaçant ; tant il est vrai qu’il se sent désormais intouchable dans la Giranie…

D’ailleurs, ils sont nombreux à Hyères à avoir fait l'expérience des méthodes très (forces) spéciales de notre BENALLA local, à commencer par le mannequin Marc LE ROY qu'il essaya d'intimider lorsque le bellâtre top-model eut l'outrecuidance de contester (et qui plus est de gagner) devant le tribunal administratif l’attribution litigieuse de son lot de plage à la fille d'un proche ami de Roland, un certain Paul URSINI, figure emblématique du milieu mafieux varois.

Ou bien encore lors de l'inauguration du musée de la banque de France le 27 novembre 2021, lorsque le plombier Mario(le) agressa verbalement la députée Edith AUDIBERT, au point que cette dernière fasse un malaise en public, elle qui n’avait pourtant comme seul tort que de soutenir Eric CIOTTI aux primaires LR alors que le seigneur et mai(t)re de notre molosse soutenait quant à lui Xavier BERTRAND.

Puis, plus récemment, lors de la campagne législative de 2022 lorsque Roland menaça physiquement William, le fiston d'Isabelle Monfort. Une main courante fut bien déposée mais sans jamais citer le nom du cerbère, autant vous dire qu’elle ne servit strictement à rien. Pas rancunière pour deux sous, la candidate malchanceuse à la députation accepta pourtant le soutien du maire lors des législatives suivantes. Ahh, la politique… Pour arriver à leurs fins, certains renieraient père et mère, d’autres plutôt leurs gamins…

Avec de telles méthodes, on comprend mieux pourquoi les enquêteurs de la Police Judiciaire de Toulon suspectent depuis plusieurs années Roland ATLAN de « faire le lien entre la municipalité et le milieu du grand banditisme local ».


Extrait des conclusions de la PJ de Toulon,
dans le cadre de l'enquête sur le « Petit Bain »

Heureusement, ses magouilles commencent à le rattraper et, suivant comment le vent tourne au CCN, notre plombier pourrait bien prendre la fuite (un comble) d'autant plus facilement qu'il vient d'obtenir récemment la double nationalité...

A moins que la Justice ou la Grande Faucheuse, ne le rattrape d’ici là ? Car même s’il n’a que 56 ans au compteur, il a au minimum 150 ans d’après les heures facturées à ses clients.

Plus sérieusement, malgré toutes les débordements de son fidèle Sganarelle, le maire continue de faire la sourde oreille et à le soutenir mordicus. Le lendemain du dernier conseil municipal, suite au questionnement de l’opposition (Karine TROPINI du groupe HTN Ndlr) sur le rôle exact de son chauffeur bénévole, ne retrouve-t-on pas en effet nos deux inséparables au forum des associations (de malfaiteurs ?) ; s’affichant ensemble, histoire de faire taire la rumeur...


Jean-Pierre GIRAN et Roland ATLAN (à gauche)
les mains dans les poches (les siennes)

Sans doute que Jean-Pierre GIRAN ne peut désormais plus faire autrement que de continuer à couvrir son chauffeur bénévole devenu très embarrassant, sans avouer au grand jour cette collusion qui saute pourtant aux yeux de tous, sauf peut-être à ceux du procureur…

30 ans après la mort de Yann PIAT, la mafia a finalement fait son retour en fanfare sur le port d’Hyères, par le biais du CCN ; collectionnant détournements de fonds publics, fausses factures et intimidations avec la bénédiction (ou tout au moins l’accord tacite) de Jean-Pierre GIRAN qui, faut-il le rappeler est, tout comme FALCO, GIRAUD et consorts, élevé au sein du système politico-mafieux mis en place par l’ancien « maire du Var », un bébé ARRECKX en quelque sorte.

Une mafia qu’on retrouvera également bientôt à la Bergerie, où on manque pour l’instant cruellement d’établissement festifs et où le futur établissement de Roland ATLAN viendra compléter l’offre actuelle de restaurants de plage qui est en train de s’étendre, telle une pieuvre, de la Capte aux Salins, en passant par le Ceinturon, l’Ayguade ou bien encore l’Almanarre…

Notre second article sur le clan du Saint-Cyrien touche maintenant à sa fin et, à tout seigneur, tout honneur, nous avons logiquement tenu à le conclure en laissant le mot de la fin à Jean-Pierre GIRAN lui-même, tiré de son dernier ouvrage intitulé « c’est un bonheur de les avoir rencontrés ».

Il nous semble en effet démontrer, tout autant voire peut-être même plus encore que cet article, toute l’influence que peut avoir Roland le franc-mafieux sur ce désormais vieux monsieur…







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